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Un roman à deux voix pour dire l'indicible

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Mon histoire

Je m’appelle Mathilde et j’écris sur ce qu’on préfère taire : les silences, les blessures, les liens qui enferment.
Mes textes explorent les failles intimes et les questions sociales qu’elles soulèvent.

J’écris depuis toujours. Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours eu besoin de poser des mots sur ce que je vivais, sur ce que je voyais.
Mais ce roman, je l’ai écrit pour d’autres raisons : pour me reconstruire, pour comprendre ce que j’avais traversé et peut-être aussi pour celles qui n’ont pas encore trouvé les mots.

Pourquoi les femmes restent est mon deuxième roman. J’y interroge ce qui retient tant de femmes dans une relation toxique quand tout devrait les pousser à fuir.
Mon premier roman abordait déjà la recherche de soi et le poids des origines, à travers une histoire inspirée du réel.

En dehors de l’écriture, je pratique le triathlon. J’y retrouve la même exigence que dans l’écriture : la discipline, la rigueur et l'endurance.

À propos

À propos de "Pourquoi les femmes restent"

À propos de ce livre

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Ce roman, inspiré de mon histoire personnelle, est né du besoin de laisser une trace à mon fils, pour qu’un jour, il connaisse son histoire et celle de ses parents. Il raconte comment une femme peut glisser presque imperceptiblement dans une relation toxique et violente, et pourquoi il est si difficile d’en sortir.

Le roman suit cette descente en spirale silencieuse où la peur, la dépendance affective et la difficulté à se reconnaître en victime se mélangent. Il pointe du doigt la difficulté à comprendre ce qu'on vit quand on ne reconnaît pas encore la violence pour ce qu'elle est. Entre humour, fatigue, tendresse, peur et honte, Pourquoi les femmes restent crie tout haut cette emprise qui enferme et les raisons qui poussent tant de femmes à rester, même quand tout leur dit de partir.

 

 

À propos de l’histoire

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À vingt ans, Mélanie vit à Paris et jongle entre ses études et les petits boulots de nuit. C'est dans un pub irlandais qu'elle rencontre Manu, frère du patron, figure protectrice qui devient peu à peu son compagnon. Ce qui commence comme une relation légère, presque banale, se transforme lentement en un lien toxique fait de jalousies, de contrôle et de violences conjugales.
 

Mélanie abandonne ses études, adapte sa vie à celle de Manu, perd ses repères et son estime d'elle-même. Il occupe l'espace, surveille, critique, décide. Peu à peu, les humiliations, les menaces et les violences physiques s'installent. Une victoire silencieuse, à laquelle elle n'a opposé aucune résistance…

 

 

Deux voix pour raconter l’indicible

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Donner une voix au bourreau a été une véritable prise de risque. Mais c’était nécessaire et je n’imaginais pas ce livre autrement.

Ce roman, je l’ai écrit d’abord pour mon fils. Les circonstances font qu’il n’aura jamais la version de son père. Je ne voulais pas qu’il ne connaisse que celle de sa mère.
Alors j’ai essayé d’imaginer ce que son père aurait pu dire, penser, ressentir, tout au long de notre histoire.

Écrire à deux voix, c’était aussi une manière de montrer que, derrière celui qui frappe, il y a presque toujours une faille, un trouble, un déséquilibre, un état psychiatrique avec différents degrés d’intensité bien entendu.


Je considère que les mots qu’on utilise, tel que « pervers narcissique », « manipulateur » ou même de « connard type », recouvrent souvent une souffrance ou une pathologie que personne n’a su soigner, ni même identifier. Cela n’excuse rien. Mais cela explique beaucoup.

Ce sont toutes ces  choses qui font des violences conjugales une mécanique complexe. Donner deux voix à ce roman, c’était refuser la simplification et s’éloigner de cette image de la victime et du bourreau parfaits.

 

 

Une histoire intime, une question universelle.

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Le titre porte cette question qu’on pose trop souvent avec jugement.
J’y réponds à ma manière : honnêtement, sans pathos, avec le ton de celles qui ont vécu.

En France, on estime qu'une femme sur dix est victime de violences conjugales. Nous connaissons toutes et tous au moins une femme qui l'est ou qui l’a été. Ce livre s'adresse à elles, mais aussi à leurs proches, à toutes celles et ceux qui ont vu, entendu ou vécu ces situations sans toujours savoir comment réagir ou comment les nommer.

Avis des Lecteurs

Extraordinairement bien écrit, j'ai lu ce livre en quelques heures tellement il est prenant, on n'en sort pas indemne. J'ai été bouleversée même s'il est écrit avec pudeur.

J'ai bien aimé ce roman témoignage sur les violences conjugales, qui fait naître une émotion immédiate, presque viscérale... Je l'ai lu quasiment d'une traite.

J'ai dévoré ce lire. Il est touchant brut, honnête, sans tomber dans l'impudeur ou le trash. Ce qui, pour un sujet aussi sensible que celui des violences conjugales est une belle prouesse.

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